10 octobre 2009
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Pleurant d’un éternel chagrin,
Mon âme est veuve de mon être.
La joie, elle ne peut l’admettre
Ayant souffert dès son matin.
T’offrant le meilleur de mon pain
Et l’horizon de ma fenêtre,
Me suffisait de te connaître ;
Toi ! tu n’en voyais plus le gain.
Ô cœur ! frappé de lassitude,
Souvient toi de ta quiétude
Quand nous partagions le soir.
S’il n’est d’ami que de semblable ;
Va donc ! parler à ton miroir,
Il t’en sera moins regrettable.