En vue de régler le conflit entre les taxis et les VTC, voici ma proposition : dans un premier temps, il faut que l’État rachète la totalité des licences aux taxis ; pour dans un second temps, instaurer une taxe mensuelle provisoire, dont l’échéance correspond au remboursement complet de la somme avancée sans intérêt par l’État. Cette taxe est à diviser entre le nombre de véhicules roulant tant pour les taxis que pour les VTC que pour les ambulances que pour le transport de fonds que pour le transport routier léger... (liste non exhaustive, à savoir que plus il y aura de participants, moins la charge et la durée à supporter seront lourdes.)
Vous me direz que la responsabilité de certains, en étant étrangère à cette situation, relève de l’abus de pouvoir, voire de la filouterie. Eh bien, à ce titre, à quoi bon, alors parler de nation française ou de peuple français si, dès que surgit une difficulté, on assiste à une désolidarisation au nom d’un corporatisme ! On mesure la qualité des devoirs et des droits d’une nation au degré d’engagement de ses citoyens, de ses entreprises, de ses banques, de ses dirigeants où la responsabilité d'urgence doit être supérieure au désengagement apathique que suscite le profit.
À ne vouloir rien perdre ; au final, on risque de tout perdre.
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