23 août 2009
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Au gré des vents stellaires, vers l’azur impur de l’infinitude étoilée, à bord d’un vaisseau nous partîmes toutes voiles dehors. Ainsi ballottés par le flux des flots magnétiques, nous survécûmes à la folle traversée et sur l’îlot suspendu nous accostâmes. Puis, dans l’oubli indéfini de l’Univers, là, où rien ne raisonne ; là même, où le temps se perd définitivement, nous fîmes de l’immémorial rêve des hommes : une réalité, des plus mémorables !