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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 19:50


L’art véritable

C’est la révélation d’une âme qui se dévoile à l’autre,

Tant dans les pleurs que dans les rires.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 04:57


Uni vers !

Rien que son nom

Est un rappel à la Fraternité.

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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 04:34


La Mort a tout son temps ;

Mais le Temps est plus fort que la Mort.

Plus de Vie, plus de Mort, rien que du Temps…

Et voici ce qu'est l'Enfer !

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 16:27














Dies iræ, dies illa,

Solvet sæclum in favilla,

Teste David cum Sibylla !

 

Quantus tremor est futurus,

quando judex est venturus,

cuncta stricte discussurus !

 

Tuba mirum spargens sonum

per sepulcra regionum,

coget omnes ante thronum.

 

Mors stupebit et Natura,

cum resurget creatura,

judicanti responsura.

 

Liber scriptus proferetur,

in quo totum continetur,'

unde Mundus judicetur.

 

Judex ergo cum sedebit,

quidquid latet apparebit,

nil inultum remanebit.

 

Quid sum miser tunc dicturus ?

Quem patronum rogaturus,

cum vix justus sit securus ?

 

Rex tremendæ majestatis,

qui salvandos salvas gratis,

salva me, fons pietatis.

 

Recordare, Jesu pie,

quod sum causa tuæ viæ ;

ne me perdas illa die.

 

Quærens me, sedisti lassus,

redemisti crucem passus,

tantus labor non sit cassus.

 

Juste Judex ultionis,

donum fac remissionis

ante diem rationis.

 

Ingemisco, tamquam reus,

culpa rubet vultus meus,

supplicanti parce Deus.

 

Qui Mariam absolvisti,

et latronem exaudisti,

mihi quoque spem dedisti.

 

Preces meæ non sunt dignæ,

sed tu bonus fac benigne,

ne perenni cremer igne.

 

Inter oves locum præsta,

et ab hædis me sequestra,

statuens in parte dextra.

 

Confutatis maledictis,

flammis acribus addictis,

voca me cum benedictis.

 

Oro supplex et acclinis,

cor contritum quasi cinis,
gere curam mei finis.




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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 03:15


Viens, ma plume papillon ! Suis-moi, je t'emmène en balade ! Allez, ne traîne pas ! Déploie tes ailes et rejoins mon vol. Je te guiderai à travers les incertitudes, bien plus haut que les nuages. Viens ! allons nous reposer sur un banc d'arc en ciel ; mes ailes un peu trop grandes peuvent bien t'y accueillir et avant que la poudre étoilée de mes ailes n'atteigne la terre, l'oasis aura vaincu le désert.

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8 septembre 2009 2 08 /09 /septembre /2009 03:02



Buvons, à la Fraternité qui crie son accouchement !

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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 15:06



Eclairé de la mort, on en est d'autant plus lumineux

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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 15:03




L’esprit est un univers en lui-même, et il est semblable à l’Univers en dimension car tous deux insondables. L’Univers c’est le règne de la démesure et l’esprit celui de la folie de son imagination qui n’est pas une faculté mais le sixième sens.

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5 septembre 2009 6 05 /09 /septembre /2009 00:54



Hubert Reeves : sa réponse

 

" merci de vos propos sur la science et sur l'Univers qui m'ont beaucoup fasciné... "

 

 

  Vôtre Serviteur : ma réponse

 

Nelly, accueillez mes fleurs comme grâce à votre diligence !

 

Et vous remet toutes mes espérances afin que ce courriel soit bien transmis à Hubert malgré la discourtoisie de sa nature.

 

 

Professeur Hubert Reeves

 

Si votre fascination se mesure au Temps de votre réponse et à l’Espace de son contenu alors j’en présume un Univers d’hypocrisies. Êtes-vous seulement sûr d’avoir le droit de mettre une majuscule au mot Univers ? Je suis profondément déçu par cette réponse succincte et vous considérai comme un honnête homme.

 

Je vous offre ma politesse, Professeur !




- Celui qui n'ose pas regarder le soleil en face ne sera jamais une étoile


- Si le soleil et la lune se mettaient à douter, ils s’éteindraient sur-le-champ


- Ce qui est maintenant prouvé ne fut jadis qu’imaginé.




Citations de William Blake : (mon âme frère)

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1 septembre 2009 2 01 /09 /septembre /2009 17:47


Voyez ! Le pauvre est sans vergogne.

En est-il un de meilleur sang ?

En est-il un moins innocent ?

Il n’est de gueux qui ne besogne.

 

Parce qu’il n’est rien qu’on ne lorgne.

Pareils au rire incandescent,

Au Diable ! Celui qui descend ;

Sus au faible en ce monde borgne !

 

Qu’adviendra-il de notre sort ?

S’il n’est d’amour, de réconfort ;

Si le cœur est sourd aux alarmes !

 

Face au désespoir de nos Cieux,

Gardons-nous ! de tarir les larmes

A la fontaine de nos yeux.

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